
A CEUX POUR QUI RIEN NE VA JE DIS
Je ne regarde pas la vague qui stationne, le ponton qui fait embarcation n’entre que dans l’espace sec
Le vent recule face au vol de l’épervier
Sur le rocher qui dépasse j’arrose la poignée de terre pour mettre la graine de marguerite
Un long fleuve traverse
Ton tronc renversé au dévissé du bassin
J’oeuvre à l’élargissement de son estuaire. Une fleur de chair au pouls.
Niala-Loisobleu – 7 Juin 2019
Prendre jour dit la marguerite, relever la tête au bout de la tige pour d’inséparables baisers…
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Et franchir la démonstration du coq…
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l’Éternel à la bouche…
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L’immortelle propulsée du plat fond, Ma.
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Jaillir
ou rien, Mon
Jaillir, dit-elle…
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Comme rose des sables en plein désert…
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Comme don pour vivre à se regarder dans les yeux…
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