QUAND L’HERBE EST COUPEE
Haute à en cacher la vérité la mauvaise herbe prit du jardin le carré fertile
Je n’avais pas vu la présence des taupes
Et ce fut un nid de vipères
qui perça le monticule
Au bain retenu le maître-nageur entre deux mirages attendait le remplissage
Le chien noir fouettant le sommet des prés fit surgir des brassées de marguerites en coulées plus courbes que le côté des hanches avant qu’on arrive à l’estuaire. Délaissant sa balle il tondit de la canine la pourriture végétale.
Je n’attendrai plus des enfants par étapes au ravin, la bosse est arasée.
Niala-Loisobleu – 31/05/19

Un poème que je viens de terminer et que je t’offre en réponse…., Mon.
ô je la vois souvent venir votre pré-science de supermarché
qui voudrait que ce soit non-sens que ce que l’on veut tout entier
avec la bouche du sourire et sur le versant clair du songe
Que savez-vous de la marguerite de mon visage vous qui tuez
les soleils indulgents derrière les miroirs sans tain sans même frémir
sans même que ça vous ronge un seul matin?
Que savez-vous de ses accidents et de ses désirs
de son pouls lointain tout entier déversé
dans la peau qui résonne sur des herbes moins troublées?
En vérité,
J’éprouve une grande aisance face à vous à n’être plus personne
MA.
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A force de jouer de votre mécanique du transit vous avez perdu jusqu’à la notion de pousser, déféquant debout en bout.
Tout faire sous plastique étranger à la beauté c’est
Vos tocs
La marguerite survit au nitrate comme un oiseau traqué
Son visage tient sain, Ma…
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Obstinée la marguerite, foi de Ma….
je noue son jaune cœur au tien…
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