Sous ces racines la terre s’est ouverte lors d’un fabuleux big-bang
Pluie de feu
Gerbes d’étoiles aspirant l’eau du sel
Transfert du jour je suis monté à partir de la descente vomitive
Reste des millions d’années après un être transfert animal qui s’acharne à éteindre en menant ce feu au désespoir de la ruine
Pourtant la musique initiale ne semble pas étouffée
Elle est là
En milliers d’épines qui ont apportées la rose au Petit-Prince en ôtant le venin au serpent d’un désert formé pour être habité
Dans un absolu
Azuré par l’altitude de l’Amour
Là pour maintenir la secousse omniprésente
J’ai senti qu’ici j’habitais un tout surréaliste qui saigne une chair de pierre à la verticale
Poésie rugissante du grand silence…
Niala-Loisobleu – 18/05/19



Céleste bouche où tu reprends ton envol
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Tendu par un oiseleur avide de glu criminelle la zone a eu maille à sortir du piège
Seulement le vouloir profond est incontournable et le parasite finit par sortir du lit où il se conduit en coucou…
Je pêne, Ma, ô oui je pêne !!!
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Alors je te pénates…Ouvre grand tes ailes et rentre chez toi, Mon…
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Ô que j’y suis bien, Ma…
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ô comme je le sais…
Tes ailes de géant ne t’empêchent plus de marcher, frétillant compagnon de tous mes voyages…
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Je suis ton haras-qui-tôt…
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L’haras-gond
d’ailes z’a
aussi
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Vive le parti comme nus hisse…
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Heureux comme nu lisse
a fait un beau voyage!!!
Je te pêne (et lope!)
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