
ENTRE TIEN EMOI 66
La course des nuages arrive à terme, le vent s’est posé à la pointe des mâts qui défilent au bal des lanciers. Voiles en étendards. Belle Epoque la polka enfin piquée voilà mon nom écrit de ta main.
J’ai la totalité des danses sur ton carnet de bal, Ma.
La place de chaque chose bouge, celle de chacun n’a qu’un seul endroit.
L’Atelier est la tienne.
Les poings battant l’Autan t’a conduite sur la foi indestructible d’une volonté tenace.
Soc attelé au cheval d’orgueil d’un chemin à semer en sillon.
L’enfant a gardé ses billes au sac à poche.
Autour ses chants ont poursuivi l’irrigation dans la sécheresse de la destruction des bocages, des forêts de garde et des courants marins respiratoires. Les oiseaux faute de branches, que des produits ont dévitalisé, sont allés jusqu’à remonter l’Atlantide à la surface pour trouver le point ô.
A peindre de mots tu as trouvé le chemin de lin libre de droit d’accès pour Toi.
Le ranimant d’un feu cathare à grand renfort du soufflet de la forge de tes seins opiniâtres. Cerf-volant dont j’ai ressaisi la ficelle. Dans l’éclosion de cabane à l’éventré, le virage du train de faim de semaine a construit la blancheur de la maison en sommeil. Goût dernier de Corbières au tricot des peints aiguilleurs.
Un goût de finir en marchant dans la mer pousse à vaincre l’impossible en lancé d’Eclaircies qui font gué depuis les pierres des années mises au bon endroit.
Destination la Beauté du Monde, encore un pas demain, deux mains, nous déambulerons en Récollets comme un Seul.
Niala-Loisobleu – 14 Avril 2019


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