René Char
Fragment XXXIX tiré de Partage formel in Seuls demeurent (1938-1944)
Au seuil de la pesanteur, le poète comme l’araignée construit sa route dans le ciel. En partie caché à lui-même, il apparaît aux autres, dans les rayons de sa ruse inouïe, mortellement visible.
Photographie © Odile d’Harnois
Niala-Loisobleu 
Ce qui s’applique au jaillissement de l’écriture poétique vaut pour l’interprétation qui ne fend le fruit parfois que pour l’écraser du poids de la réalité insupportable le privant de son intangible séduction…
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Toutefois, Mon, puisque la poésie est lumineuse à nos yeux seuls, j’avoue qu’un entretien -émoi serait le bienvenu à ma fibre…
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