
ENTRE TIEN EMOI 47
Plus loin que voir l’oeil
à travers les hautes herbes
des oiseaux plantés sur pilotis
cabanent
A quai
la chaîne étirée entre les bornes dépassées rêve de franchissement en regardant les pavés fichés au sol
Reste en débit la colonne du laissé pour compte
séparer le sel de la fleur et la fleur de la celle genre je casse la gueule à l’inquiétude osant essayer de monter la plénitude au bon étage habité.
Ce qui à chaque fois me Soulages d’un pissé sur l’outre-noir. Ne pas se tromper de faute c’est valable en poésie comme en tous commentaires. Des fois par soleil clair je ride de voir ma tête dans l’eau. Le reflet est cruel. Au moment ou le héron cendré sortit d’un bouquet d’iris d’eau j’ai revu mes fesses d’enfants rirent en Moëze-Oléron. J’ai eu l’idée que mourir là où j’avais vu la mer pour la première fois pourrait tenir une vraie idée de moi au-delà de la traversée. Les huîtres chaudes de la Cabane, un délice, le manque du principal, un supplice (fût-elle plate comme un hypocrite s’en prenant à l’Education Nationale).
Niala-Loisobleu – 31/03/19
Je souffre aussi du manque du principal, chaque minute et la défense de la poésie qui est l’amour en son plus haut sera mon combat perpétuel…Car vivre n’est pas survivre;
Je préfère mourir violemment, les yeux grands-ouverts…
J’aimeAimé par 1 personne
« J’ai eu l’idée que mourir là où j’avais vu la mer pour la première fois pourrait tenir une vraie idée de moi au-delà de la traversée. »
c’est la seule traversée qui vaille le coup.
J’aimeAimé par 1 personne