L’Epoque 2019/ 21: LA MER
Voici « « La Mer » » vingt- et- unième de cette nouvelle Epoque 2019 avec Barbara Auzou.
C’est un travail à quatre mains , merci d’en tenir compte dans vos commentaires.

L’EPOQUE 2019/21
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Lauriers roses et pins parasols L’île ici partout On se presse Au pouls de la beauté donnée Et l’on ose faire ce qu’enfant on avait juré Dans l’haleine chaude des eaux Rêves de papier naviguant Dans les caniveaux et les rigoles Essentiels vaisseaux pour tenir nos promesses Sur l’accore amariner le bleu en nous Abîmé par l’excès ou par l’absence Nue sur le ponton toi et l’anse Du panier Les poissons volants De nos vœux branchés sur la barre d’écoute Et le lien du mot aux choses Que nous apprenons sur l’oursin De l’inconnu
Barbara Auzou |
Et finalement nous sommes partout chez nous, pour seule patrie un ciel trop grand pétri d’amour
A bâtir de nos mains le dernier séjour et la douceur qui lui convient…
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Il me semble reconnaître un lieu sûr pour mouiller en sécurité. L’île est l’aile. Un jardin beau-tonique sans discussion possible.
C’est bonheur ma Barbara…
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Le beau tonique ayant davantage de vertus que le beau toxe, il va de soie que je t’embrasse tout entière…
nous sommes dans de beaux draps…
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Et vois comme sans beau toxe le travers seins peut se gonfler harmonieusement…
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C’est le beau Ah constructeur qui fait des merveilles…Qu’on en est tout beau-aime
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Qui parle de lien peut se taire
on l’entendra
c’est un tout qui navigue à l’encre
dressé sur une couleur vaste
L’ouvrage arrive à se faire monumental tant le fond y règne
Paré de moments exceptionnels celui-ci en est plus qu’entouré
et le coeur s’il en est gros
sois sûre que c’est de bonheur ma Barbara
Je t’embrasse comme je t’aime
N-L
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Comme la marée de mars dans les champs
Tu ouvres un passage dans les années de sécheresse
Nos regards se croisent s’entrelacent
Tissent un vêtement de feu transparent
Un lierre doré qui te couvre
Haute et nue tu souris comme la cathédrale le jour de
l’incendie
Avec le même geste de la pluie tropicale tu as tout dévasté
Usés jusqu’à la corde les jours tombent à nos pieds
Il n’y a rien sinon deux êtres nus
Un jaillissement au centre de la chambre
Sources qui dorment les yeux ouverts
Jardins d’eau fleurs d’eau pierres précieuses d’eau
Vertes monarchies
La nuit de jade tourne lentement sur elle-même.
Octavio Paz
Je t’embrasse comme je t’aime mon Alain
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Tu le sais mais te dire combien j’aime Octavio Paz est assimilable à mes gestes répétés sans que tu t’en lasses de ton côté…
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J’aime terriblement Octavio Paz, sa poésie a le charnel qui nous convient à tous deux…
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Ô combien !!!
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Tu es là tout au bord à toucher l’atmosphère sans équivoque ma Julie, grâce t’en sois rendue. Je t’embrasse tendrement.
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Je t’embrasse en regardant le port.
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Quelle à vent hure …
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