POUR UN RICOCHET
D’eaux douces et salées mises en frises
la chambre en ouvrant sur toi prend l’espace de toile à partir d’où mouille les Abeilles et leurs pilotes
Mufle renifleur
Quand je rêve de ruche quelque Montparnasse est plus proche de la vie que de la mort. Il y au fond de la plus grande oeuvre plus de souffrance qu’on croirait à voir le plaisir trouvé à la regarder. Quand j’ai les poils en frange qui saurait combien le cheval tremble , sinon toi assise là où il a les pattes.Combien de fenaisons pour un seul trèfle – croire que le jaune ne donnerait pas de vers est une totale hérésie – entre Terre et Mer, tes seins si pleins t’ont faite aéronef que j’y ai nouer ma ficelle. Peinture de mots retenus, lavis et couteau d’une joute chevaleresque où ton écharpe nouée à la corde a pu mesurer la cordée en orée dans la course d’un élan largué.
Vînt le cri avant que la poussière ne retombe
L’écho sur la Table marqua l’orientation symbolique, parade volatile du coq-de-bruyère avec le garenne saltimbanque donnant le balancier à l’écuyère pour que le feu recrache en caresses la lueur de la vérité.
Déboutonnée la robe à fleurs resta à léviter pendant que debout l’amour saluait jusqu’au dernier rang.
Niala-Loisobleu – 2 Mars 2019



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