A PARAÎTRE
L’heure à force d’avancer n’a marqué que le pas de fils
Dire que passer dans l’actualité sans le profit de l’anonymat tient en mains des cartes traîtresses capables de douleurs collatérales assassines..
Niala-Loisobleu – 11/02/19

L’heure à force d’avancer n’a marqué que le pas de fils
Dire que passer dans l’actualité sans le profit de l’anonymat tient en mains des cartes traîtresses capables de douleurs collatérales assassines..
Niala-Loisobleu – 11/02/19

Tâches de soleil, tes lettres de voix dans la feuille blanche de mes oreilles écrivent
Et ne menthe que poivrés
Un maux implose dans les griffes de l’ongle incarnant le bon rôle
Les chiens jaunes ictèrent il était un foie qui s’y rose jamais
Le cheval dressé sur son choix sauvage se baigne la sous-ventrière debout dans le ciel d’une étoile de lin
Chien de rues dépassées que le chemin de soi caravane sourd à la voie du muezzin, l’hisse au regard d’un ciel libre d’aliénations
Gîtant quelque part au domicile fixe d’un espoir sans failles
injustice accablante
Il y a des cordes qui délient…
Niala-Loisobleu – 11/02/19

Elastique adhérence, ici marche déjà la résonance de l’intention que tu me portes
Tout bruisse soudain encore collé d’averses
Marques du coeur de la forêt chauffant de leurs parfums feuillus
Envol vertical
Le ventre blanc des martinets se frotte à l’espace en quittant la muraille.
Niala-Loisobleu – 11/02/19

Rien ne peut se voir encore du ton de la vague
seule l’oreille en reçoit l’odeur
ma langue court plaine de pensées.
Niala-Loisobleu – 11/02/19
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