ÎLE
Taches de rousseur parsemées de pointes que seuls les chardons violacent d’un ton n’ayant rien de cardinal
mécréant même
piquant de ce sel qui fleure aux carreaux des grandes vertus du corps de la femme
que serions-nous sans ce que l’amour hurle
dans l’indifférence totale d’une foule libertine
collée
aux vitrines des serrures d’un monde aveugle mais voyeur
courant parmi les ombres reste ce bord de mer respirable, herbu au milieu de l’aride d’un sable à écrire des promesses où nous avons dressé de nos mains folles la tente de notre palmeraie architecturale.
Niala-Loisobleu – 1er Février 2019

L’entourer non pas comme la mer entoure une île, mais comme elle la recouvre…
Et parler avec elle un langage d’arbres lointains…
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L’eau remontée jusqu’au né
et lui laisser l’usage des maints paysages…
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Une palmeraie qui protège tout en ouvrant vers
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Comme un Toi ouvrant ma Barbara…
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