Jacques Bertin – Très loin, offerte, parfumée
Très loin, offerte, parfumée
Et dans la boucle des rosées
Une orangeade renversée
Venait, son pied posé
Délacée, parfumée, rêvant
À la locataire principale un galet
Celle-ci, grain mouillé visage
Et toujours été levant
Les bicyclettes de soleil
Elle, chaque étape est posée sur
les
avenues d’herbes de la mer
Niala-Loisobleu 
J’enfourche ma bicyclette de soleil
Il faut aller plus haut
et je sais où le haut se trouve
Ni dans la fausse humilité
Ni dans l’orgueil malvenu
Ni dans la gentillesse surfaite
Non…Dans le parfum commun
de la beauté! Je pédale au pouls
Loin…
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Tant d’aime ça roule plus loin et toujours plus ô
En s’ailes amour…
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Allons
double
pédalier
On n’en a pas fini
Tant de choses à se dire…
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Der ailleurs
Et sans freins..,
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Sans chaîne
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Juste la voui fie…
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Il suffit d’écouter cette chanson pour voir que votre transcription est très mauvaise… Comment faites-vous? C’est un robot qui transcrit? Ce serait bien de corriger…
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Ah bon et en quoi est-elle mauvaise Monsieur le Critique ? Moins de prétention dans votre propos et plus d’explication auraient pu m’éclairer, dommage Bertin est un homme clair par définition, ce qui apparemment vous manque.
Merci…
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anonyme evanescent
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Con stypé de la personnalité…
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