JARDIN VANDALISE
Le bain me trempe glacé par la poussée de fièvre
mes yeux s’embrouillent dans le fracas du marteau aux tempes
au feu de l’iris
pourtant tes mots sont philtres au clair
Je ne marche de travers qu’aux assauts sournois
indiscrets
de mauvais aloi
fourbes
sots
plus que taupes
notre jardin retourné par l’invasion animale dévastatrice
Au temps des voeux qu’ils aiment et le vivent chacun de leur côté
Didier opine en secouant sa crinière avec un début de violence
on est à notre place que chacun regagne la sienne…
Niala-Loisobleu – 06/01/19

ô que oui Didier opine de la crinière avec un début de violence…
Et comme il savait comme nous cette contradiction de cette société malade qui s’offusque à grands cris de la nudité pour y opposer en toute liberté la pornographie.
J’ai devant moi des élèves qui s’offusquent des mots fesses ou nu pourtant déjà habitués à des vidéos pornos qu’ils n’auraient pas du voir…
Comment écrit-on autrement qu’avec son corps?
Je t’aime . Comprenne qui voudra. J’aimerais d’ailleurs mieux qu’on ne cherche pas à comprendre.
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Serait mal venu celui qui d’oserait ma Barbara et puisqu’on en parle qu’il sache que je lui conseille pas.
L’indécence ne présidant pas notre partage d’un idéal noble, propre et sain
qu’ils se tiennent à l’écart dans leurs sites spécialisés…
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Le Mirage/ Paul Eluard
Est-ce dit
Le regard de torture
Le regard plus qu’inquiet qu’un rat chez les bêtes
Inquiet d’une femme cachée
Refusée
Qui ressemble à ce que je n’écris pas.
Tu vois, mon Alain, la poésie féminine engendre plus d’effets pervers que celle écrite par les hommes…ça me rend malade…
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Tu sais combien ça m’esquinte cette courte vue bien basse ma Barbara
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Oui
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