CLAP Ô


Mer en délire à la gîte parallèle, je laisse le gouvernail d’un frôlement de barbe courir aux creux des pôles

Le cou anémomètre cherchant l’échancrure de la grotte pour se mettre à la cape

Les mouettes coiffées de bonnets rouges à hermine font des loopings en rase-motte

L’ivresse marine faisant tempête j’ai la jambe-de-bois qui rigole en frappant les trois coups côté cour et jardin pour lever les ris d’eau de ta petite robe noire

Un rom des îles tourne du bon côté

Souris t’es filmée

Niala-Loisobleu – 24-12-18

9 réflexions sur “CLAP Ô

  1. Quand apparut la terre dans sa silouhette indistincte tu apparus nette sans risque de confusion
    Il est vrai qu’etant à la nage entre mon approche et la côte l’erreur ne pouvait te confondre avec une sirène…
    Monte vite à bord,
    Noël ne m’inspire qu’angoisse alors que toi tu me réveilles homme tous les jours ma Barbara
    Joyeuses nos ailes..:

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