Il pourrait y avoir un second univers. Tant contribue la sensation d’ailleurs où vous m’entraînez sans que l’envie de me retenir me vienne
Les oiseaux partis de nos lieux semblent s’être rassemblés ici. Leur proximité non farouche est bienfaisante
J’ai frissonné quand votre sein m’a montré la flore du jardin
Il me tardait de vous en dire comme ça serré quand il vient à éclore dans ma paume
Le grain pastèque a mûrir un bon Jour…
N-L -18/12/18

L’oiseau de nos paumes est un oiseau de feu qui possède le don de l’ubiquité…
Je vous embrasse de ma prairie….
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Votre prairie que les épices laissées par le passage des grands fauves marquent en points d’ô rafraîchissants ont un caractère marqué…
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Vous nageâtes?
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Embrasse coulée dans les hautes-herbes
Le sentier des taures avec raison…
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Vous vous déliâtes alors…
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Une manière de s’autrement
Olfactive assurément…
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Au pas de votre porte, deux moineaux sur les marches ne se quittent pas d’un appel d’air. Le silence réduit le temps perdu par l’intérêt qu’il suscite pour le moindre détail. Le minuscule se montre en macro, le souffle remonte le poil debout au pire. Le ton monte sans besoin de rehaut.
Pensâtes-vous à ce chemin-peint qui borde le tapi ?
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J’y pensai tant et si bien que tapie à l’aile de ma réflexion qui avait pris la forme d’un seuil subi, je sus qu’il n’est d’autres nids que ceux que l’on se choisit. Légère en mon lieu, à l’épaule de la grande lampe, j ‘assis comme une plante vulnéraire mon auguste fessier sur la chaise de fer forgée de sourires …et me mis à vous écrire….
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