Le ciel traversé d’abord à nuage est calmement allongé dans un miroir d’eau, entouré des palmes qui sont en plongée
Rien ne souffle plus de turbulences
Vous savez comme en embouteillage on se prend de désir d’issue
Les tons de blancs des maisons s’allient aux verts des pergolas en avantageant l’écru des chemises où battent des envols de tourterelles
Que d’oiseaux migrent…
Niala-Loisobleu – 16/12/18

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