HORIZON
Frisson d’une clarté
la nature se dissipe du noir
Les fraises d’une jeune poitrine que je mords
Ils n’entendront du cheval qu’un bruit sans voyage
nous serons alors parvenus très loin du sépulcre
Niala-Loisobleu – 24/10/18

Frisson d’une clarté
la nature se dissipe du noir
Les fraises d’une jeune poitrine que je mords
Ils n’entendront du cheval qu’un bruit sans voyage
nous serons alors parvenus très loin du sépulcre
Niala-Loisobleu – 24/10/18
Les commentaires sont fermés.
Mon silence pour accueillir ce BEAU.
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La peau blanche
Tanneurs embusqués
Arrive à l’o telle…
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L’eau source au-delà de fétides marais…
Merci Sophie.
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Quand le vent referma la tombe un soleil alluma la balançoire d’un autre élan…
Merci ibonoco
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Les mots empâtés d’un chemin inculte se délient en plein-cintre…
Merci lheuredelire
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Noir si lumineuse est Paola…
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