
VIVENT LES MARIES
Les soubresauts du buisson aux fleurs blanches se tenaient encore debout au lendemain des cloches
Par la main greffée du nouvel anneau.
Vivent les mariés cogne un pic-vert au tronc de l’Arbre Légendaire.
Les mousses émus commençant à sentir le besoin du poids des corps courir sur les tomettes du plancher des ponts appuient au chant pignon.
Les bouches de deux guitares prises en cordée au carré des étages enferment le patio des cris d’une suite de noces que la senteur des fleurs a remuées.
Comme balancent les seins aux claquements des mains
Les pois de la jupe partis sur la chaise
la fleur de l’hymen à jamais vivante en taire dans leur âme
La côte de tes hanches où bat la mer, me porte aux pôles de naissance de tes créoles
Vivent les mariés
l’estuaire ne mendie plus
le delta dit en corps oui dans un large sourire…
Niala-Loisobleu – 21/10/18
Très de l’autre côté
derrière les grands rideaux émus
j’ai vu à leur façon de sonner
que les cloches étaient nues…
Je t’embrasse à l’anneau mitoyen, mon Alain…
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C’est pas vrai hélas, on entend plus la voix de Ferrat…Laetitia a trusté l’antenne, horreur et damnation..
Merci ma Barbara.
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ça marche pas?
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Si ça marchait pas j’aurais pas repris ce qu’on entend en l’écoutant qui dit que depuis sa mort on entend toujours Jean chanter…
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Alors garde encore ces mots-là et raye les Laetitia mon Alain…Elle était pas conviée à la noce…
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C’est fait ça n’empêche pas les inopportunes de s’inviter…
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Les mariés sont aveugles à ce qui n’est pas eux…
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Plaisir de t’avoir vu passer Vérojardine.
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