DOUBLE-PLATEAU
L’araignée a pris le ciel en partie dans l’angle du carreau, contre le petit-bois , celui du vélo qui a un caillou dans la poche. Petite-Fille rendue aux portes closes pour bagage, à ouvrir. Non dormir n’est pas que rythme biologique, dormir c’est la menstrue qui remet ovaire . Glissant l’heure d’être dans un passage dérobé, partie du film qu’une forme de censure à bouffé. Il y a eu le moment où sans savoir pourquoi le grillon a été enlevé, quelle rançon . Payer pour ce qu’on a pas fait est la pire mensualité. Les poupées de son peuvent rester dans l’ivraie, ce qu’elle cherche c’est du semis la petite-fille. Boucles raides queue de vache pourquoi ça a pas pu faire meuh ? Manque de train simplement, injuste découpage du paysage. Bataille du raille, pont qui saute. Pas nécessaire de conter Cosette. Les murs ça parle, beaucoup s’en aperçoivent pas. Puis vers midi, le vent d’autan observant sans rien dire à fini par mettre de la couleur dans le suffocant du terne. Un vieux tapis de corde, si tâché de peinture qu’on y trouve l’objet flottant sauvant des trous du navire. Au point de faire naître des montées d’escabeau pour faire prendre le rire aux poplitées qu’un regard caresse du talon à l’aine. comme tout ça danse. L’air d’altitude de l’atelier montre des panoramas sans mort-lente, larges, larges, larges ….
Niala-Loisobleu – 19/10/18




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