On dirait qu’un passage libère
Sa lumière crémone et coulisse à battants
Regarde la couleur peau de la plage suante d’écume
J’ai de la peine à retenir le flot qui frappe à mes tempes
Il faut que l’embarcadère de tes lèvres me traverse au ressac de ta poitrine
Rien d’autre j’ai décollé la gêne du moteur
Je ne toucherai pas à l’aria de ton cri d’oiseau que ton embrun soulève
Niala-Loisobleu – 16 Octobre 2018

Par distraction, j’ai fait deux fois le tour du monde
C’est toi que j’ai croisée sans m’en apercevoir
toute nue sous le vent aux îles de la Sonde
J’ai caressé tes seins, content de te revoir….
Claude Roy….
L’oiseau du soir s’est délesté du poids de l’aurore…
Merci mon Alain
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La Sonde en doigts
un à un largue les anneaux du corps sage
la pêche au ton n’a pas rougi
un éclair d’argent monte à l’étiage de la prunelle
ce trou d’ô se fait nombril …
Merci ma Barbara.
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