On dirait qu’un passage libère
Sa lumière crémone et coulisse à battants
Regarde la couleur peau de la plage suante d’écume
J’ai de la peine à retenir le flot qui frappe à mes tempes
Il faut que l’embarcadère de tes lèvres me traverse au ressac de ta poitrine
Rien d’autre j’ai décollé la gêne du moteur
Je ne toucherai pas à l’aria de ton cri d’oiseau que ton embrun soulève
Niala-Loisobleu – 16 Octobre 2018





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