MÉCANIQUE VERBALE ET DON DE SOI
Aucun mot n’aurait mieux pu, sans doute, exprimer sa joie.
Il le dit et tous ceux qui attendaient contre le mur tremblèrent.
Il y avait au centre un grand nuage — une énorme tête et les autres observaient fixement les moindres pas marqués sur le chemin.
Il n’y avait rien pourtant et dans le silence les attitudes devenaient difficiles.
Un train passa derrière la barrière et brouilla les lignes qui tenaient le paysage debout.
Et tout disparut alors, se mêla dans le bruit ininterrompu de la pluie, du sang perdu, du tonnerre ou des paroles machinales, du plus important de tous ces personnages.
Pierre Reverdy
Ecrasé sous l’absurde de la masse qui roule et amasse, je sentis ma voix disparaître sous mes jambes. Cet instant où se perd la conscience terrasse à mettre le pouce comme la fin du combat de l’arène
Ton refus de ne pas aboutir désir surhumain de mettre ton amour face à l’ombre en lumière totale, abat du mauvais jour, la fin des successions de bords d’amers contre nous.
De ton existence tu m’as dit confiance, tiens bon j’y arriverons.
N-L – 04/10/18

Une belle journée, mon Alain, au poing du jour…
Je t’embrasse comme…
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Ton poing t’hisse ô de là ma Barbara❤️
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Qu’est ce que j’aime ce tableau et ce texte !!!! Merci pour ces cadeaux que tu nous fais Alain. Belle journée
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Ces tableaux que tu trouves magnifiques Delphine, le seraient-ils sans l’écriture de Barbara ? Non sans aucun doute…
Merci à toi et bonne journée Delphine.
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Bien sûr que oui ! ils sont beaux sans moi…
sinon comment je serais arrivée là moi?
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Magnifique tableau. Le voile tombe et la vie surgit comme un rêve que la main s’approprie pour réveiller le plaisir inassouvi. Merci pour ce bon moment de partage Alain.
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