CRIEZ, CRIEZ MAIS CRIEZ…
Au trou qui s’avance
soudain au coeur du rire
à couper au sabre le ricochet du souffle
tendez vos cordes vocales hérissées sur l’ergot du refus
comme cet enfant
à sortir de ton ventre a en vie de briser l’indifférence
de son corps saignant d’amour…
Niala-Loisobleu – 13/09/18
Niala-Loisobleu 
j’ai roulé tous feux d’allégresse allumés,
les gens me saluaient reconnaissants
les mains se souviennent et dessinent à l’enfant
une bouche à chanter les saisons retrouvées…
Merci mon Alain.
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Les vents quand ils sentent les cons trairent
allument les rétros-projecteurs
on voit les vaches en plaine lumièr
repousser ces tortillards
A la corne muse
le kilt mini-mini
dégage les shows sets en n’oeufs mollets pour que l’air passe
le geste joignant ses paroles en un seul et m’aime cri !
Merci ma Barbara.
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Comme mes vaches ce soir encore vont me conter leur bonheur d’être ainsi couronnées de cet à trait si particulier..Ah le débit de l’ô chantent-elles est bien plus beau que le débit du laid!
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Les histoires de r’ô minets m’ont toujours parues trompeuses, tu sais combien j’attache d’importance à appeler un chat un chat et non un chas pour un fil confondu avec le trou sacré du chasma par lequel les émanations fatidiques parvenaient à la pythie…
Oh que de confusions bercent la langue ma Barbara.
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La confusion c’est pour les discours qui nous gouvernent, pas pour la poésie, tu sais…
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Oh oui je sais et quelle soif de savoir toujours encore…
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A redonner aux fontaines les otaries!
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Je te morse l’ô rayé à travers seins, dit-il en se levant du ban..,
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Comme tu as le dos fin…
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Je ne cache à l’ô rien qui bat l’aine…
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Aise pas don un poison scié..,
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oh scie! oh sole! le cas billot c’est la mort, hue! L’arrêt? Ce serait un congre!
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