TU LA VOIS ?
Il prend dans ses mains des choses disparates — une pierre
une tuile brisée, deux allumettes brûlées,
le clou rouillé du mur d’en face,
la feuille qui est entrée par la fenêtre, les gouttes
qui tombent des pots de fleurs arrosés, les pailles
que le vent d’hier a déposées sur tes cheveux — il les prend
et la-bas, dans la cour, il édifie presque un arbre.
En ce presque réside la poésie. Tu la vois ?
Yannis Ritsos

C’est un presque ouvrier et laborieux , oui je vois la poésie là…C’est délicat la mécanique du coeur. il faut des mains qui veuillent plus que tout…
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Il faut surtout tout lui laisser faire au cœur et dire à la tête merci on marche pas à l’ombre…
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oui mon Alain…
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Merci ma Barbara.
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ô de rien..j’écoute en tentant d’apprendre durablement.
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Merci Marcello, ce matin le soleil s’est montré plein grâce à toi.
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