LE TAUREAU
Il ne fait jamais nuit quand tu meurs,
Cerné de ténèbres qui crient.
Soleil aux deux pointes semblables.
Fauve d’amour, vérité dans l’épée,
Couple qui se poignarde unique parmi tous.
René Char
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et finalement ce poème pourrait illustrer ton post précédent, Una noche Mas, même envoûtement, même douceur violente, même séduction, même beauté des muscles frémissants…et m’aime mise amor…La tenacité et la cuisse puissante font la beauté du taureau ….
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Je sais cette beauté puissante qui porte Lorca hors des balles et dense avec les lucioles, flammes porteuses de lune…
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oh je sais que tu sais…
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L’odeur de se savoir porte en papilles..,
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