LA MAISON EVENTREE
Les arbres se retiennent les feuilles avec peine, le froid est brutal, de canicule on passe à en-dessous de la ligne de flottaison, au point qu’à l’entrée de la chambre d’amour les bouées ont parti migrer un anti, sorte de vieux beau plein aux as, misère, , si les repères se cherchent un sou teneur. La maison éventrée fait comme une tire-lire qu’on a cassé. Elle faisait pourtant rien de cochon dans ce coin bucolique, ma poésie est violée d’un regard aigri qui passe le seuil des orées. Tant de rêves que les pierres s’étaient gardées dans les lézardes, pour que les coins de cache-cache des enfants portent à vivre dans un monde qui meurt…
Niala-Loisobleu – 2 Septembre 2018

Les lézardes ressassent leur plénitude ancienne
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A L’Ecluse Barbara resasse non-chaland solide remorqueur, des petits-poissons sont devenus grands grâce à elle…
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