CONTE JUSQU’A SANS
Effarouchée la branche s’incline au miroir d’eau remuée
la clef reste sous la cache du pot de taire
Sitôt le cri de la collision passée la route s’est cherchée sous le jaunissement de l’herbe
comme l’appareil écrasé qui repart des emparés
En pleine poitrine la façade cachée, en contant jusqu’à sans, n’a rien pour empêcher les fleurs bleues de pleurer aux pluches d’ô gnons…
Niala-Loisobleu – 23 Août 2018

Par respect, ESther est une rescapée de la Shoah,
la plus vécue que j’ai connu des atteintes faites à la dignité humaine, je m’abstiendrais de tout commentaire. Ce qu’elle écrit ne touche qu’à cette souffrance là
On ne peut l’associer à rien d’actuel
N-L
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