
EPURE POUR UN SEOIR
Des pierres remontent les sentes que les pieds-nus chaussent
en bout à bout de cailloux transparents où l’image d’une table de ferme attend au pied du lit que le peint cuise aux remous des marches d’escaliers de ce cours d’ô
Ne gardant que selles du rêve roulant d’un bord à l’autre de la croupe chevaline
Le tilleul tourne sa cuillère dans la cour des miracles d’une histoire avancée
mais la menthe monte fraîche et forte dans l’arborescence du schéma que ne feront pas les rideaux aux fenêtres des fleurs roses
Percées grimpantes que l’herbe aux gueux accroche au treillage de notre rêve luttant contre la médiocrité du laid tourné.
Niala-Loisobleu – 31/07/18
Autan dire que le laid n a caillé se faire une aquarelle ailleurs que dans nos cours d’ô… ❤
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Et comment, l’horrible qui ne rate pas une occasion de se mettre en à vent, remis au rang de flatte hue lance et voilà l’ordre retrouvé..
Merci ma Barbara.
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Merci à toi mon Alain…
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Pourtant, pourtant, un jour viendra, un jour d’épaules nues…
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Oui un jour viendra de plus que pôles nus ma Barbara…
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