QU’A TARD TÔT VIENNE
L’embrun refuse l’incarcération
les longs couloirs sans crête et sans coques
ce rai du jour d’un cul de base fausse que la feuillée ignore
A croupis
un saumâtre de vapeurs de soufre brûlant la poche de poitrine
pas plus qu’à genoux
voulons aimer bouches râpées
Non-émasculés des ocres sans gains nés des mots et des peints
serment gravé à l’âme qui ricoche de pierre en pierre sans gerçures
au pentu de la maison d’Autan Occitan tenue d’un chêne libre de fugue
Niala-Loisobleu – 25 Juillet 2018

Pentue certes mais il nous revient d’y déposer la pierre ultime mon Alain!
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On a bien basé les pyramides comment Nil
serait impossible de hisser le bouquet au faîte ?
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On va y arriver…en attendant j’ai laissé les clefs au pâtre afin qu’il ouvre les volets avant notre venue…
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Le brûlant de la tuile qu’un soleil monte à four
courbe l’argile. Les pores suent en gazeux appels…
Merci ma Barbara.
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Mer si à TOI…tâche d’arriver à bon pore , mon Alain.
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