QUE LE GLAS S’ENLISE
Bras pris au ballant d’une direction déviée le métronome-sémaphore s’interroge. Venu de la Manche un raïe sonore glisse entre les porte-containers d’un western spaghetti. L’hors démange les colts. La vue de loin des maisons blanches bute dans l’essuie-tout, la case bat comme un choeur de pleureuses. Ô séant revient sur le pont.
De derrière les coups de Roncevaux la vie cherche où est passé le boomerang, les histoires de mort ne prêtent pas à rire. Leur coût en douleurs est trop élevé,
Au tapis la mémoire de peinture avance ses empreintes, le chevalet posé, réfléchit et accepte de s’engager, la toile étant garante.
Estran demandé ?
La mer ne connaît pas d’égale en concept de force. La haine qui se vante en veux tue en voilà doit reculer sous le poids de sel que l’amour porte en fleur de vie. Je mange seul à peindre pour deux. Que le glas s’enlise.
Niala-Loisobleu – 12 Juillet 2018

Alors à Ta bleue…Il est l’heure, mon Alain.
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S’en laisser claquer de saisie, que la vague fasse lever la tête…
Merci ma Barbara..
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Je t’embrasse…
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Émoi de m’aime…
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Bleu qui pave haut…
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