
RAS-RONDIN
Feu fit le peloteur d’exécution en glissant sa main d’un oeil tourné vers l’autel, tandis que de l’autre, le plus libidineux, il l’avait entré au tabernacle en signe de croix. Le peintre traversa la route en tapant du pied pour que le marais rattrape le condamné, pauvre ras -rondin, qui aurait été mis au feu comme une sorcière au temps des messes noires auxquelles seule la maîtresse du roy avait le droit de donner ses bâtards en supplice. C’est justice fête. Alors se rappelant Prévert, il signa en bas du tableau. Ceci n’est à prendre qu’en conte d’hauteur…
N-L – 27/06/18
Alors le ras-rondin s’en sortit bien , point de suie ni de soufre sur lui…
Merci au peintre qui le sauva du bûcher…
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Les peintres c’est les meilleurs en inconnus…
Merc ma Barbara.
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Je n’en doute pas…
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T’as pas un taire eh !
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glissement de terre, hein?
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