La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
10 réflexions sur “Paul Valéry lit son poème « Poèsie »”
Cette voix qui semble venue d’ailleurs…
Ce poème là me fait penser à un poème sans titre de Schéhadé:
Attention au cheval attention à la brebis
Aux yeux des fleurs mortes
Je te dis ça afin qu’un jour
Si tu galopes au trot avec Basile
Un charme unique accentue ta joue
-Elle est l’anguille qui pique le fruit
Cette colonnade de sucre qui fait mourir
Et voici ma petite chanson:
Elle est aussi jolie que l’an
Le catafalque le bédouin
Le tromblon la tour
Et les grâces de l’amour
Le combat ne cessera jamais en m’aime tant que la fatigue me serre la poitrine je sens l’énergie brandir ma palette…on ne nous terrassera pas, nous sommes d’ailleurs, autrement ma Barbara.
Cette voix qui semble venue d’ailleurs…
Ce poème là me fait penser à un poème sans titre de Schéhadé:
Attention au cheval attention à la brebis
Aux yeux des fleurs mortes
Je te dis ça afin qu’un jour
Si tu galopes au trot avec Basile
Un charme unique accentue ta joue
-Elle est l’anguille qui pique le fruit
Cette colonnade de sucre qui fait mourir
Et voici ma petite chanson:
Elle est aussi jolie que l’an
Le catafalque le bédouin
Le tromblon la tour
Et les grâces de l’amour
-Ah Basile tu es trop
Frère et soeur des oiseaux.
Le nageur d’un seul amour.
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A mots vole la réponse décolle ô combien ô ma Barbara, merci.
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Mais il n’est plus là mon commentaire?
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Comprends pas
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ben mince alors…
NON ! qu’on se le dise! je ne suis pas indésirable!
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Revenu j’ai trouvé !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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La recherche m’a tenu, voilà tout est ordre…
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Voilà qui me siège davantage! Je m’en dilate de bonheur retrouvé…
Parce que quand-même ce:
-« Ah Basile,
tu es trop frère et soeur des oiseaux »…
quelle merveille de légèreté feinte…
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Il en faut et en faudra encore des bras d’amour et de courage pour maintenir la poésie et la peinture la tête hors de l’eau du commun, tu sais…
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Le combat ne cessera jamais en m’aime tant que la fatigue me serre la poitrine je sens l’énergie brandir ma palette…on ne nous terrassera pas, nous sommes d’ailleurs, autrement ma Barbara.
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