UN RAYON PREND LA RUE
Mes godasses au bout des écarts
délassées pieds nus dans ta bassine
trempent à la nage
comme une aubade source la nappe à fleur de peau
rien d’autre que ce silence qui saute au cou
j’ai mis les peines en noir et blanc dans les lunettes roses de ton ventre…
Niala-Loisobleu – 15 Juin 2018

Un bain de jouvence à attendrir les corps au pied et la cloche des mains…Les lunettes sont de mises sous ce rayon irradiant et la bassine se fait fontaine au pèlerin déchaussé…
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Sortir de la croqueuse baïne pour plonger dans la bassine tu me me croiras pas, c’est grand ben chez les paix l’reins…
Merci ma Barbara.
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Bain tiens…
Espérons que les pèlerins ne commettent pas de coquille et rabattent bien la lunette sur la cuvette!!!
Merci mon Alain!
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Manquerait plus que de se faire prendre dans l’abat tant…t’imagines…j’ose pas…ça fait site de rencontres vantant sa lumière intérieure…affligeant…
Voguons au large des sirènes comme Ulysse !
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ô feux , ô feux si le cas cendre en de funestes prophéties!!!
Circé comme ça mon Alain, tu as raison, vaut mieux fuir pour garder l’aube aux doigt de rose, l’hue lisse et le cheval deux-trois!!!!
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Les doit de rose sont une obligation à laquelle on se prie sans craindre que l’épine infecte. Circé allons voir si l’arrose s’épanouit !
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Carpe
et dis aime!
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Et dire de la part d’une carpe c’est l’avènement du parlant…
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Mue était destinée à nouvelle peau…
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