Telle douce
Telle douce et entêtante
à ma porte
l’odeur des brebis
les mêmes mots vont
et reviennent, les autres
jamais, les mêmes
s’aiguisent se lacent
et se perdent
dans la chair
dans le drap du mort
j’étais dieu dans le feuillage
la membrure de l’ordinateur
a mis le phallus en croix
tel le souffle expulsé
du mufle d’un taurillon
tel l’effritement du pied
dans la mer.
Jacques Dupin
L’entêtement stupide d’un ciel qui a cassé le gouvernail échoue au soleil
les remugles d’un ratage ondulent sur le début des parties claires
pourtant rien ne montre d’à priori dans l’idée que ton sabot résonne
je suis rentré à ton école en auditeur-libre, tu peux allumer les chansons d’amour aux élèves je ne parlerai que d’oreilles
les cornes laissent que le temps de pose aux pages, nous nous sommes pas finis de lire…
Niala-Loisobleu – 13/06/18

Et le monde est courbe aux yeux d’ovoïdes couleurs…
Et nous nous sommes pas finis de dire…
Bon Jour …
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Aux rondeurs de ses lignes je n’eus pas de platitude à craindre, le profil monte l’avalé d’un bon jour…
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Point de mouettes enrhumées dans ce ciel là…
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On ne parle que du né !!!
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et bien né!
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Deux ça fée néné…
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en naquit abuse…
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Abuse…chosonosor ?
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à buse, aigle royal!
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merci Célestine.
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