LE BEAU RESSENTI
Je traverse cette mitraille de grêlons
à côté le gros monsieur a quitté ses écouteurs
la foule est sortie de la tranchée
enhardie
Levez-vous et hurlez à dit le prompteur
Je rentre dans le silence de ton sacré
le prêche est en congé
Ta voix traverse le bruit cascadeur de l’hystérie collective
je pense encore à toi
tout s’en va toi tu restes là…
Niala-Loisobleu – 12 Juin 2018

Quelle présence il a ton texte, Alain…
On peut donner bien des choses à ceux que l’on aime. Des paroles, un repos, du plaisir.Tu m’as donné le plus précieux de tout: le manque.il m’était impossible de me passer de toi, même quand je te voyais, tu me manquais encore.Ma maison mentale, ma maison de coeur était fermée à double tour.Tu as cassé les vitres et depuis l’air s’y engouffre, le glacé, le brûlant, et toutes sortes de clartés.
Christian Bobin, La plus que vive.
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La présence est tout. Tu le
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Sais…
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Je crois que le gros monsieur aux écouteurs est le mendiant qui a perdu sa route et qui revient tous les jours au même endroit pour la retrouver….
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Il est sur la bonne voie…
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Il a trouvé des repères fidèles déjà…Alors oui sans doute!!!
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Déjà le bruit de son moteur s’attache à s’accorder au émissions d’efforts du cheval…
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Eh oui…Une symbiose évidente qui le laisse le soir ses muscles cois d’évidence…
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Cois qui arrivent à tel poing nommé que la poitrine s’en tend au devant…
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Ne reconnaissant pas le hasard, c’est avec une impression de justice que je te vois ici …d’autant qu’il s’agit du beau….
Merci ‘vy.
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