Je suis au départ du vent
Scrutant la corniche des cuisses ou la rosace se centre
La légèreté en prenant la forme d’une goutte perles sans qu’une nacre ne l’enferme
Ton geste retenu dans son élan par un entourage colonisateur me prend tout bas à l’oreille
Et la première vague fait rouler l’écume aux poils de mon pinceau
La couleur me renverse dans son rire…
N-L – 10/06/18

J’espère que tu nages bien…parce que la cascade fraîche de ce rire-là il faut savoir la remonter après s’y être ébroué comme une enfant….
Bonne soirée mon Alain.
Un poème de Bonnefoy:
« Et à des moments je ne vois plus rien que ma chaussure qui troue la blancheur crissante.Le bleu vif des lacets, l’ocre de la toile, d’un grain serré, les marques brunes qu’y laisse la neige qui s’en détache dès que mon pas s’en dégage pour me porter en avant, dans les remous de lumière.
Le peintre qui se nomme la neige a bien travaillé, ce matin encore.Il a rajeuni le dessin des branches, le ciel est un enfant qui court en riant vers moi, je resserre autour de son cou la grosse écharpe de laine. »
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Une porte, voici le fond du jardin, on ne voit dans les fleurs qu’une pensée grimpante…
Le peintre attaque la toile sans retenir sa pensée non-violente, au large poil il va peindre aux doigts..Les larges feuilles du figuier échancrent le fruit….
Merci ma Barbara.
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Ayant poussé la porte étroite qui chancelle , j’ai tout revu, tout?
Vers-laines de mon bas de rire?
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Merci à toi Célestine…
Je te souhaite une belle soirée…
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Le gond des faits tient le bois veiné bien feuillu.une essence de persistant
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Le l’ô riait rose derrière son port-taille quand l’iris du peint-tant baissait la garde…
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L’essence est à rude épreuve avec l’Iphone …
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l’ail faune?
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L’aïe dans la portière…
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ouh ça rend bleu le thym et la seule sauge que je sais c’est que l’Annette y laissa son or rigant…Si boulette il y eut ce fut un trop plein d’ô gnons!
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L’Annette et son goût prononcé pour le saut mont sauvage commence à sentir le fumé…
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Bien fait, elle a trop joué de son perce-cils! l’extra-gonds mène à les curry!
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On plante? on sarriette?
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Ça m’égaye le thym, toute cette verdure !
¸¸.•¨• ☆
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Avant l’orage et son déversoir d’eau, l’herbe laissait au soir l’accueil du rire d’été…
Merci Célestine..
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Et même dans la baleine du parapluie tu étais occupé à générer l’été…
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J’ai appris à pêcher de la baleine par mon ami Jacques….
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