La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
Elle parle comme l’eau des fontaines
Comme les matins sur la montagne
Elle a les yeux presque aussi clairs
Que les murs blancs du fond de l’Espagne
Le bleu nuit de ses rêves m’attire
Même si elle connaît les mots qui déchirent
J’ai promis de ne jamais mentir
À la fille qui m’accompagne
Au fond de son jeu de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Elle prendra jamais mon cœur pour un hôtel
Je dirai les mots qu’elle attend
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l’autre moitié de mes secrets
Je sais qu’une autre nuit s’avance
Lorsque j’entends glisser ses colliers
Un jour je bâtirai un empire
Avec tous nos instants de plaisirs
Pour que plus jamais rien ne m’éloigne
De la fille qui m’accompagne
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Je prendrai jamais son cœur pour un hôtel
Elle dira les mots que j’attends
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l’autre moitié de mes délires
Elle sait déjà qu’entre elle et moi
Plus y a d’espace et moins je respire
Oui …
et c’est pour ça que je ne m’immisce pas dans le post qui suit, car moi, résolument j’ai la truffe écrasée dans la clématite pourpre et ça sent bon alors je ne veux plus en sortir….
….Puis elle met son pied dans se mains à lui , qu’il ajointes, elle s’arc-boute, elle est à nouveau sur la scène, elle se retourne vers l’audience, s’il en est une.
« Je suis la reine, s’exclame t-elle, tu es le roi ».
en effet, ils étaient la reine et le roi, la révélation avait eu lieu, l’épreuve était terminée, la nuit pouvait tomber, ce matin-là, le feu cesser de lover son chemin de mort dans l’en-dessous des feuilles mortes, des pierres…
Pour m’effleurer la main, pas besoin de mot de passe…
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Son empreinte m’est connue…
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C’est normal , elle a la rusticité fragile qui sied à ton uni vert.
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La ligne où je franchis l’interdit pour me faire paumer les fruits
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Du vrai sillon de bête terrienne…
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Quand l’idée y germe le cheval y hennit….
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Oh ici il faut que ça perche rond, la terre est fertile mais taiseuse…
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Mieux vaut être taiseuse que faire tilt..
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c’est de la bonne taire travailleuse, généreuse et sentimentale.
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Je fuis ces terres dites bio qui sont vérolées au plus haut-point, le sentiment étant majeur en tou, il doit présider de lui-même ma Barbara…
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je suis d’accord…
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Merci Zoryana
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Merci lesfaitsplumes.
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Elle parle comme l’eau des fontaines
Comme les matins sur la montagne
Elle a les yeux presque aussi clairs
Que les murs blancs du fond de l’Espagne
Le bleu nuit de ses rêves m’attire
Même si elle connaît les mots qui déchirent
J’ai promis de ne jamais mentir
À la fille qui m’accompagne
Au fond de son jeu de miroirs
Elle a emprisonné mon image
Et même quand je suis loin le soir
Elle pose ses mains sur mon visage
J’ai brûlé tous mes vieux souvenirs
Depuis qu’elle a mon cœur en point de mire
Et je garde mes nouvelles images
Pour la fille avec qui je voyage
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Elle prendra jamais mon cœur pour un hôtel
Je dirai les mots qu’elle attend
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l’autre moitié de mes secrets
Je sais qu’une autre nuit s’avance
Lorsque j’entends glisser ses colliers
Un jour je bâtirai un empire
Avec tous nos instants de plaisirs
Pour que plus jamais rien ne m’éloigne
De la fille qui m’accompagne
On s’est juré les mots des enfants modèles
On se tiendra toujours loin des tourbillons géants
Je prendrai jamais son cœur pour un hôtel
Elle dira les mots que j’attends
Elle sait les îles auxquelles je pense
Et l’autre moitié de mes délires
Elle sait déjà qu’entre elle et moi
Plus y a d’espace et moins je respire
Tout comme…
Merci ma Barbara.
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Bon jour, Mon Alain…
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Bonjour oui de te voir, ma Barbara, pourquoi faut- il que la nausée l’assaille par la disgrâce d’un harcèlement revenu?
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J’ai étendu une couronne de draps propres autour de toi…
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Ces mots-là oui…
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A s’en vêtir pour commencer la journée, mon Alain…
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Et ne plus voir ceux qu’on voudrait vous obliger à porter…
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Oui …
et c’est pour ça que je ne m’immisce pas dans le post qui suit, car moi, résolument j’ai la truffe écrasée dans la clématite pourpre et ça sent bon alors je ne veux plus en sortir….
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Tu as raison c’est un chancre que je dois soigner tout seul…
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Le théâtre des enfants d’Yves Bonnefoy:
….Puis elle met son pied dans se mains à lui , qu’il ajointes, elle s’arc-boute, elle est à nouveau sur la scène, elle se retourne vers l’audience, s’il en est une.
« Je suis la reine, s’exclame t-elle, tu es le roi ».
en effet, ils étaient la reine et le roi, la révélation avait eu lieu, l’épreuve était terminée, la nuit pouvait tomber, ce matin-là, le feu cesser de lover son chemin de mort dans l’en-dessous des feuilles mortes, des pierres…
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Etre reine et roi au théâtre des enfants, c’est une image que dans la vie les hommes ont pas compris, ils la jouent en dictateurs…
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