La vérité du drame est dans ce pur espace qui règne entre la stance heureuse et l'abîme qu'elle côtoie : cet inapaisement total, ou cette ambiguïté suprême. Saint-john Perse
12 réflexions sur “cabrel les chevaliers cathares”
C’est chez moi…C’est là que j’aimerais vieillir et éprouver la force de mes genoux contre le vent fou qui s’amuserait à les vouloir faire plier…Je voudrais être ridée comme une vieille squaw, brune et grasse et parler haut sur le marché de Gruissan pour négocier le prix de mes olives qui rejoindraient tous mes trésors, les visibles et les autres dans mon vieux panier en osier….
Merci mon Alain.
Je ne crois pas que l’on vieillit en ce pays, il a les pierres qui le jour où elles se dressèrent, cessèrent de se rider pour demeurer la vie que le temps garde. Les olives sont le fruit de cet arbre qui était avant que la terre prétende exister.Y serais-je, que j’aurais vu mon dernier rêve s’exaucer ma Barbara, merci.
j’entendais » vieillir « comme poursuivre ses rêves. J’ai longtemps voyagé comme une valise.faute d’apprentissage, de mots qui apprennent à regarder quand on est enfant, faute de culture du beau aussi. Je l’ai trouvé seule ce beau et ce lieu qui me correspond est à l’image de la conscience première de mes choix….
Dors bien, Alain…
Dans mon propos, il n’entre pas d’intention de reprendre le sens de ton terme. Je l’ai compris. Rien ici n’a a voir voir avec ce ce que l’on a eu ou pas dans son enfance. Je parle de la nature du pays, son essence, son immortalité. L’amour qu’il peut générer je me risque m’aime dedans…
L’Histoire des Cathares prouve bien que l’intolérance est de toutes les époques… J’ai suivi les sentiers sauvages à une époque où le tourisme était moins virulent…
C’est chez moi…C’est là que j’aimerais vieillir et éprouver la force de mes genoux contre le vent fou qui s’amuserait à les vouloir faire plier…Je voudrais être ridée comme une vieille squaw, brune et grasse et parler haut sur le marché de Gruissan pour négocier le prix de mes olives qui rejoindraient tous mes trésors, les visibles et les autres dans mon vieux panier en osier….
Merci mon Alain.
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Je ne crois pas que l’on vieillit en ce pays, il a les pierres qui le jour où elles se dressèrent, cessèrent de se rider pour demeurer la vie que le temps garde. Les olives sont le fruit de cet arbre qui était avant que la terre prétende exister.Y serais-je, que j’aurais vu mon dernier rêve s’exaucer ma Barbara, merci.
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j’entendais » vieillir « comme poursuivre ses rêves. J’ai longtemps voyagé comme une valise.faute d’apprentissage, de mots qui apprennent à regarder quand on est enfant, faute de culture du beau aussi. Je l’ai trouvé seule ce beau et ce lieu qui me correspond est à l’image de la conscience première de mes choix….
Dors bien, Alain…
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Dans mon propos, il n’entre pas d’intention de reprendre le sens de ton terme. Je l’ai compris. Rien ici n’a a voir voir avec ce ce que l’on a eu ou pas dans son enfance. Je parle de la nature du pays, son essence, son immortalité. L’amour qu’il peut générer je me risque m’aime dedans…
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Un doux risque….
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Merci lesfaitsplumes.
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Merci Audrey.
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L’Histoire des Cathares prouve bien que l’intolérance est de toutes les époques… J’ai suivi les sentiers sauvages à une époque où le tourisme était moins virulent…
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Quand il était plus chevalier que cas tard….t’as eu raison Eva, on s’a d’ailleurs croisés…je t’embrasse.
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Merci Zoryana
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Merci
michema
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Merci isoptech.
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