
AUDACE DES MENTHES SAUVAGES
A l’ouverture laissée au possible un caillou s’ose
le né dehors
il a gratté la terre d’un spasme quand le désir s’est glissé en lui
On avait le rayon légumes aux étagères des conserves, il sema le geste auguste en tûtorant la base de son idée un peu comme on rame quand le vent est à plat
Sur la coursive passe le souffle de son corsage, alors que penchée en avant, des bulbes de sa poitrine pointe l’annonce des prochaines fraises, la corbeille de sa robe se tresse
Un oiseau a battu des ailes, pour le sourire de l’arbre qui le portait.
Niala-Loisobleu – 17 Mai 2018
Merci marcello comitini.
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Tant et si bien que l’annonce transe alpine dans une barque à rôles…
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Et l’arbre ravi de l’envol de l’oiseau s’est incliné lui aussi devant la corbeille de fruits…
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Et ce fut profusion de fruits frais…
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au grain de pulpe accompagnant la course des nuages à la sortie…
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Ah, le geste auguste…………..
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Ses arts sèment abondamment à l’amour..,
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Sous ses cous ronds ronne le laurier…
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Quand en plus ils ne sont pas coupés la bonde anse gargouille…
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veni vidi amavi!
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Comme le seoir coule…
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Merci Zoryana.
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Merci Audrey.
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Chaque murmure d’arbre est une caresse…
Merci Verojardine.
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Merci MioModus.
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Merci
lesfaitsplumes
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