PROMESSE D’UN JARDIN
Tout ramassé, hors du sac, leur amour survit à la destruction de masse
la tige des fleurs du soleil rayonne
qu’on dirait un chant de vélo quand la robe arrivée aux épaules de la montée, montre la vigueur des cuisses
Le souffle en pédale sans faire sauter la chaîne
Le monde à part s’indique en ouvrant les chemins sans monnaie, une odeur de Givenchy dans les nymphéas qui fait le Jeu de Paume hardi comme la main de masseur dans la culotte mais sans le zouave laissé au maintien du pont
Quand viendra le Soi
pas d’inquiétude à avoir
il aura bien trouvé son Jardin.
N-L – 11/05/18


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