IL ME SOUVIENT DU VIEUX PAYS
Ô mer, ne reste-t-il que sable sur le sable
Pour écrire l’Histoire ? Ô mer sauvée des fables
Quelle écume, à nos pieds, se souvient du chaos ?
Les galets du soleil captent d’autres lumières
Les goémons frottent leurs insectes par milliers
Ce vieux pays en moi
Mais c’est toute la mer !
Le flux et le reflux imposent ma prière
Paysans et pêcheurs savent comment l’aimer.
Dites-moi, mes amis, ce pays vers la mer
Ce pays dans la mer, comment y revenir ?
Rebâtir sur le roc villages de naguère
Qui parle dans mon cœur soudain de rebâtir ?
Prendrai-je le chemin qui nous aide à mourir ?
Suis-je déjà trop loin sur la route éphémère ?
Une rivière va, son bruit blanc, sur les pierres.
Charles Le Quintrec

Ta joue granite rose à la côte de mes yeux
mer au lointain qui tire à lui pour accoster
si tes pores n’existaient pas j’aurai péri, ne laissant qu’un reste en vague qu’on vient pour y baigner
je t’habite en claire
au travers d’une passe où l’algue déploie couleur et parfum en un mouvement de coquille
A la pointe sauvage le chenal qui te divise en deux anse le seuil de la seule porte à vivre.
Niala-Loisobleu – 10 Mai 2018
La porte à vivre est lourde à ouvrir, il faut pousser de toutes ses forces…
mais alors…Derrière, ce sont des jardins d’exception…
J’aimeAimé par 1 personne
Les débris de chemins malencontreux s’amoncellent en force, signe du sentiment de défaite, de changement prochain. La luminosité qui passe pour montrer l’exception ne traverse pas un judas…
Merci ma Barbara.
J’aimeAimé par 1 personne
Merci à toi Alain…
mes fenêtres ouvrent toujours sur le beau….
J’aimeAimé par 1 personne
Je le sais, seulement ceux qui déposent leurs débris dessous le savent aussi…
J’aimeAimé par 1 personne
Merci lesfaitsplumes .
J’aimeJ’aime
Merci
amotsfeutres
J’aimeJ’aime
Merci Zoryana.
J’aimeJ’aime
Merci
Domi Amouroux
J’aimeJ’aime
Merci Sisyphus47
J’aimeJ’aime
Merci Luciole
J’aimeJ’aime