
VIVE L’OLA
Quand le cou tordu tient la majeure partie de la place, il y a une carence évidente qu’il va falloir régler avant qu’il ne soit trop tard. Tellement de vide dans des heures pleines à avoir en vie le désir d’exister par l’échange effectif et spontané, que c’est pas la bonne voie de rencontrer une percée d’oubliette tenuepar des occupants de second rang. L’inculte à la culotte de ch’val qui déborde de l’ascèse, c’est juste bon à faire pourrir la paille. Je pense à une égocentrique, parfaite caricature de sentiments qui ferait de la pub pour la procréation. De quoi me donner le désir de me gratter les couilles par envie de soupe à l’oignon. Le minus qui ferait autorité c’est pas acceptable. Demain je cabane-déménagement, mes p’tits-gars en renfort pour hâler du lé au la. Vous avez dit l’ola ?
Niala-Loisobleu – 7 Mai 2018
Mettre de l’ordre
même quand on n’a pas eu le choix
sans cabane où dormir
et allonger ses souvenirs
reste le soleil qui tient bon
et s’invente de nouvelles vies…
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C’est la base de toute création que d’un venté, tenir le soleil debout ma Barbara…
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Toujours le soleil debout
l’art l’amour la poésie
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Et sans béquilles…
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ou celles souples de s commissures…
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Ah ça c’est le ber salé…
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