QUAND LA MER MONTE
Poussières de cabane collées à la sueur du torse
j’ai les reins de docker
au déchargement d’un espace de transfert
canal de Panama
ohé Blaise aurais-tu un oncle à me prêter
Je voudrai aller danser
sur la plage pour entendre le coquillage me dire
« Viens on prend le large »
et me retrouver quelque part sous les plis
de sa robe en arbre de Judée…
N-L – 06/05/18

Merci amotsfeutres
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Ils t’en disent des choses les coquillages….
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C’est incroyable ce qui me raconte, un langage composé de passages à terre explorateurs avant de se faire celui petit-baigneur qui en brasses secoue l’écume…
Merci Barbara.
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Merci Zoryana.
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