Ne pleure pas si je chante à la portuguesa, danse avec moi…
Dans l’écume où tu marches
j’ai trempé mes cheveux
De mousse avec ma barbe ils ont blanchis les sangles des labours
Cheval de mer à tête de drakkar mes prières ne sont qu’un courant de moulin à marées
fou comme une rivière qui mit le mont en Normandie
pour que j’y dragonne tes seins, tes miches et tes ailes..
Fado, fado, fado tu transportes l’accent des larmes par bonheur fertiles
toutes les guitares suspendues au souffle inextinguible de l’amour
dans le déploiement pulmonaire des accordéons du couloir des marelles
métro poli tain pour mieux se voir transportés en dehors du cadre de glace
l’aisselle de cheval à rab montée à cru
pour les steppes tartares des contrées sauvages sous la yourte de poésie…
Niala-Loisobleu – 26/02/18

A cette ronde d’enfants
que tant de peine a suivie
vous n’étiez vous qu’en passant
Chansons qui fûtes ma vie
Vous dont je fus la clarté
Beaux jours courbés sous leur ombre
j’ai vécu de vous compter
je mourrai de votre nombre
Possédant ce que je suis
je saurai sur toutes choses
que la chambre où je grandis
dans mon coeur était enclose
Joë Bousquet.
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Sous les yeux du vide-poches
Un caillou décerne
En chanté…
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A l’eau nageons…
Merci michema
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Ce qui fut volé d’un voyage est rendu au point de départ…
Merci dilip.
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L’écope attrape le relief d’une dernière ô pour lui laisser où s’étendre..
Merci
Christophe Guitton
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Quand l’heure vient pour la lune de se poser, on ne cherche plus à tâtons où mettre le nuage, la fenêtre s’ouvre sur le couloir…
Merci Boris.
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Merci
lorenztradfin.
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