India Song
Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d’elle
Et toi qui me dis tout
Ô, toi,
Que nous dansions ensemble
Toi qui me parlais d’elle
D’elle qui te chantait
Toi qui me parlais d’elle
De son nom oublié
De son corps, de mon corps
De cet amour là
De cet amour mort
Chanson,
De ma terre lointaine
Toi qui parleras d’elle
Maintenant disparue
Toi qui me parles d’elle
De son corps effacé
De ses nuits, de nos nuits
De ce désir là
De ce désir mort
Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d’elle
Et toi qui me dit tout
Et toi qui me dit tout
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d’elle
Et toi qui me dis tout
Ô, toi,
Que nous dansions ensemble
Toi qui me parlais d’elle
D’elle qui te chantait
Toi qui me parlais d’elle
De son nom oublié
De son corps, de mon corps
De cet amour là
De cet amour mort
Chanson,
De ma terre lointaine
Toi qui parleras d’elle
Maintenant disparue
Toi qui me parles d’elle
De son corps effacé
De ses nuits, de nos nuits
De ce désir là
De ce désir mort
Chanson,
Toi qui ne veux rien dire
Toi qui me parles d’elle
Et toi qui me dit tout
Et toi qui me dit tout
Marguerite Duras

Cette chanson m’a toujours habitée,éventrée… moi qui suis traversée…
de cet orgueil-là d’être la seule à la comprendre…
Merci.
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Je retiens un trouble profond..de tes mots…rien qui laisserait paraître la moindre prétention…
mais quelque chose portant une douleur qui n’appartient qu’à Toi..; à moins…
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Merci Christophe.
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Merci Boris.
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C’est juste que c’est MA CHANSON, s’il faut n’en garder qu’une…
comment as tu trouvé?
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Comme j’ai pressenti Guillaume hier et …
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..Mais veux-tu bien sortir de ce corps, grand manitou…!
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Le corps ne sert qu’à taire ce que l’âme peut montrer quand on la regarde. Et ce domaine tu sais voir… Et en ce qui me concerne, je ne montre qu’elle, comme une Marguerite qu’on épluche, un peu, beaucoup…mais pas du tout comme il faut voir ce qui ne se met pas en avant par le biais du système…Je ne peux m’empêcher de faire un lien avec Frida et Diego. Dans le dépassement du jeu théâtral ces deux là sont la tragédie grecque contemporaine qui me fascine. L’un et l’autre étant tour à tour le vecteur et le castrateur de l’autre. Une histoire d’amour qui se montre totalement en dehors de la bluette qu’on répète à coups de projecteurs…oui il y a un formatage dans l’instruction…
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Merci Audrey.
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Merci beatricelise.
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Merci Stéphanie.
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Chanson de nostalgie universelle, comme un manteau de poix.🦋💜🦋
¸¸.•¨• ☆
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Désolé ma Céleste…suis gommé, peut pas répondre…
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