FREMISSEMENT MATINAL
Le domaine dans lequel j’évolue reste différent de ceux qui l’entourent. Les paysages partent des mêmes ingrédients, enfin c’est ce qu’il me semble, mais à l’arrivée beaucoup de choses changent en eux. La vitesse de transformation s’accélère, beaucoup de mouvements aériens élèvent le point de segmentation. Un enfant marche à côté d’un univers qui ne lui ressemble pas. Il s’arrête souvent, lève la tête pour se mettre à la taille des choses sans pour autant avoir la moindre envie d’y associer sa stature et ses signes extérieurs. Ce qui le marginalise, reste en dehors de toute nécessité de remise à niveau. Le blanc d’une petite fille l’accompagne partout. Si ce n’était le rose de sa vue, l’immaculé prendrait place sur tout ce qui constitue le fond. Innocence, pureté, des vertus qui n’ont pas à être inventées, elles sont innées dans mon périmètre non enclos. Le rire moqueur qui naît spontanément derrière cet aveu, est laissé accroché à la chaîne de la niche où il stagne. La petite-fille a fait un mouvement de vague avec sa chevelure, des papillons bleus y sont venus danser. Un vieux cheval de bataille, relis ses cicatrices pendant que la Muse l’accompagne à la guitare.Certains mots comme rancoeur, n’ont aucune place où s’asseoir et encore moins tenir debout. En revanche tout ce qui frémit trouve sa peau de fourrure au pied de l’âtre sienne. Un lieu imbécile disent des troupeaux qui ne font que passer. Certainement vrai suivant la loi du nombre. Pourtant l’unique de l’être et le nombre s’annihilent. Au coeur d’une poche à cailloux, un vélo suit les odeurs laissées par les traces animales. Le corps vibrant des amours donne sa place au sexe de la vie sans élucubrations préparatoires et inclusions de colorants. La sexualité végétale minéralise des chutes d’eau ascensionnelles. Voyages renouvelés dans une m’aime transparence quotidienne. L’enfant double, fille et garçon, n’a pas à recevoir de messages d’orientation pour hâler son chemin vers la Lumière. Ne me demandez plus de consignes pour vous aider, j’ai compris que vous êtes les seuls à pouvoir pourvoir pour vous. Mes lèvres ne sont pas pétrifiées, elles sont justes fermées à ce qui nuit au silence.
Niala-Loisobleu – 29 Décembre 2017

Dirigeons-nous vers nos opalines atteintes, sans chahuter le cours des choses, notre lumière en place balisera.
Merci Boris.
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La route solitaire traverse les contrées habitées en y puisant la force de pouvoir vivre sa vie.
Merci michema
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A peine me retrouvai-je en route, que l’impression d’avoir croisé des troncs communs avec toi, me passa par une quasi-certitude, Barbara.
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Merci Barbara, je ne prie rien, j’essaie de faire en refusant ce qui m’en empêche.
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De l’impénétrable ayant contourné la question, j’eus le bonheur de recevoir le mystère en réponse.
Merci Soizik Mauden.
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L’espace de liberté que nous inscrivons dans la géographie pénitentiaire de ce monde, est toujours au-dessus, un jardin suspendu, jamais en catacombes, le lieu de repos matériel des hommes.
Merci tracesdusouffle.
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DES train
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Soudain du déluge d’un opéra-soupe traitant de la Vie, un animal qui avait échappé à Noé fit son numéro de résurrection. On le vit prendre le bain de Noel sans ail lot de bain mais plus à l’aise que les pros de l’hexib. Tout ça parce qu’il le faisait pas pour ça dit l’ordonnateur des grandes pompes.
Merci ivanitch.
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A l’angle de cette rue donnant sur la Seine, reste la gare d’où je partis.
Merci Sisyphus47.
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Des trous du limonaire sortait une odeur de pain chaud…
Merci isoptech.
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Quand les bretelles du piano tombèrent on vit apparaître le petit oiseau sur le gaillard d’avant❤️🦋❤️
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mais il n’avait plus d’elle..
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Il l’avait elle et planait :
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normal c’était un oiseau aux elles immenses 🙂
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On peut beaucoup en attendre de ses zèles !
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il voulais planer aux dessus des cimes mais est-ce qu’il avait encore envie de le fer?il brûlait tout sans aucun a joue elle était je crois belle c’était tout!
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il voulait exc
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Oui ce qu’il voulait être dur comme faire.
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il y croyait dur comme fer:)
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Je crois de bois comme de faire !
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si tu mens tu vas en en fer
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sous ses erres dur(es) il savait y faire et toujours battre le faire surtout lorsqu’il est chaut me peu
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Il se peut que les les airs rances soient plus frais que les voeux de nouvel an !
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un peu d’air pur est alors souhaitable pour les rances..
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L’environnement peut y participer en part égale p
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D’autant qu’ils peuvent venir de personnes indésirables…
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Oui pour que nous ayons toujours les chants des oiseaux:)
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