Ma Boule au Plafond
Entre le jour qui s’allume et la nuit pas éteinte
la lumière glissée dans ton regard voulu proche
vient de libérer la chaleur particulière qui gîte en ta pierre retenue de dire
Je sens son pouls battant sa cadence à la cuisse de ma poche
pendant que ta rousseur aurorale libère le souffle du parfum de ta rivière
Elle montre mieux les secrets de la géographie de ton corps que la nuisette ne les cache
cette odeur qui femelle ses sels pour premier bain
laissant pressentir la ligne de vie en continu de mes mains
A la manière dont nos langues en se fondant serrent leur noeud coulant
que je sois pendu si je mens
Niala-Loisobleu – 23 Décembre 2017
Illustration: Les danseurs – Fernando Botero

Libertango
nos corps bandent aux néons
comme enseigne de nos vaisseaux
Bonjour Barbara !
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SI beau que j’en perd la boule… cœur battant ❤️
Moi je Noël avec les fous 🎄
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Alors toutes boules dehors foutons-nous jusqu’a l’ivresse ❤️😍❤️
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Bon jour,
La danse de mots à celles des corps, de belles lignes … pénétrantes 🙂
Max-Louis
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Ses boules ? Un miracle de nos ailes…..
pas de glace, ni de neiges, elles n’ont pas fondues dans mes mains !
Merci iotop.
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L’ô qui monte va faire du combat en boules de neige, une véritable bataille navale, affranchie, merci.
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Ployant l’échine, elle fit si bien jaillir son buste que ce fut avalanche de boules !
Merci
Domi Amouroux.
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Célestine, quand tu fais jongler mes mains dans ta robe fendue jusqu’à la cuisse, mes doigts fourmillent dans les boules de ton décolleté sans que je puisse calmer la frénésie de ma langue, puti le tango, sur le plat du plancher ça fait pas regretter nos ailes à la montagne !!!!!!!!!!!!
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L’abondance est l’expression chair de Botero.
Merci Boris.
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Beau…
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La beauté Sana se fait logis au fond de la gorge.
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Quel chemin ai-je omis ?
Sauf celui du recul dont j’ignore tout.
Merci Sana.
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Pourtant l’épais des choses demeure
Au point de vouloir dépasser l’enlisé🐾
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J’ai de l’Astor qui met mes pieds dans le Piazolla…
Merci Sisyphus47.
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