PRISE D’AIR
L’oiseau-peintre se tapit dans le pincelier de la branche la plus nue d’un arbre en mal de fruit, A côté le verger se recueille au bord de la cabane sans qu’aucune préméditation ne s’incline, La clef pend au bout de sa serrure, Le son du silence fait fond,
Toi, Femme, retenue de ton plein-gré ou par un motif de la vitrine m’étant inaccessible, quelle formule magique faut-il sortir du récipient du génie pour t’avoir à portée , Je ne parle pas de la connerie différentielle entre une féministe qu’on sait pu si elle a du poil sous le nez faute d’en avoir à l’origine du monde, Non je parle comme l’égalité naturelle que j’ai complémentaire,
Laisse-moi refouiller ma mémoire, je dois me remettre les points particuliers d’une anatomie qui s’est confondue entre des choses n’ayant rien à voir les unes avec les autres,
Qui a le pouvoir de répondre à la présence non signifiée en dehors du camelot du boulevard ? Hein, si tu sais ben réponds,
L’enfant a une idée de tout qui se pose pas, c’est autrement plus facile à vivre, Déjà qu’on lui met la disproportion de tout à longueur de journée avec des meubles d’une taille telle, qu’il a décidé de ne plus se mettre debout, A croire qu’il aurait eu la prémonition de cette tartufferie qui différencie la bête de l’animal-homme,
Niala-Loisobleu – 22/12/17

Il est ainsi de la nature belle du monde, rien à dire, sauf pardon, j’m’excuse, j’l’f’rais, chieé, la parole est le mal-propre de l’homme.
Barbara, dessine-moi un mouton !
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Les belles choses appellent l’injure de leur évidence pour faire croire au vrai faux.
Merci Sisyphus47
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C’est joli un pincelier
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ღ˛°* ღ ღ Un bisou céleste pour toi
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Un pincelier ça trempe. Ceux qui trompent c’est des vases mortuaires. L’ailée fente, ma si rose, en me tirant au fond de son bois ne me tirelire jamais, sa lyre à aile, je pourrais dire son héli pore me décolle que j’y vois rien que du pas pillons. Où à dire vrai on découvre le sens moral. Mieux qu’une vitamine C, un boost-tringle, une roulette-russe qui te fait le barillet st-bernard. Un truc de montagne, pourtant j’aime pas la neige, mais le chien j’peux pas m’en démentir la filialité, j’en suis une meute à moi tout seul quand je me lâche.
Ce brouillard qui règne tant dans les esprits qu’il finit par se montrer partout. Dans les champs. les petits chemins, le rivage, c’est l’outre-manche, la méconnaissance du système mes triques, un comble… Je recours à l’enfant, un point c’est tout Céleste créature, mer porteuse, ô séant des montées pas mécaniques, le contre-poison des mi-graines.
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Contre-poison des migraines, ça me va…
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M’aime en corps mieux !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
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Elle était si jolie que je vois pas pourquoi elle veut se faire une tête de belle-mère ?
Merci MioModus.
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Les sujets-bateaux font le bonheur des dams, Boris.
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