D’un ciel bistre
Pulsé de sa vase
Ce fond de ciel
Culotté
Fourneau de pipe
Se cogne la tête
Contre l’imprévisible de ses carreaux
Frayer
du passage
Coûte que coûte
à l’âme tranchante
N-L – 15/12/17

Pulsé de sa vase
Ce fond de ciel
Culotté
Fourneau de pipe
Se cogne la tête
Contre l’imprévisible de ses carreaux
Frayer
du passage
Coûte que coûte
à l’âme tranchante
N-L – 15/12/17
Les commentaires sont fermés.
Au pied-levé sans voir, sens-tu deux mains venir ?
Merci Barbara.
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Refusant l’enfumage chargé de tous les systèmes, le peigne sépara d’un rai lumineux les touffes de la pellicule.
Merci Sisyphus47.
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Nous irons traverser les embarras
qu’ils soient gastriques ou de coeurs
Merci ivanitch.
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D’une chaleur qui réfrigère, il faisait état d’un tant n’existant pas.
Merci iotop.
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Le gardien s’arrêta devant la dernière porte et posant sa main sur sa poitrine, dit ici c’est privé de clé, c’est toujours ouvert.
Merci Boris.
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Ainsi sans attendre les rois mages se firent-ils le seul cadeau qui vaille, ils se soutinrent.
Merci bouzou
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