
Tu as dans le buste l’âme du violon
De ces pas trop courts, restera à l’étendue les traces d’une suite griffonnée de nappes en nappes des tables de passage. Si ce qu’ils n’osent dire est vrai nous n’avons rien à craindre. Notre moulin à eau est à l’étiage. Les gros nuages écrasés sous la meule en pierre ne feront pas de tort à la récolte. Ce n’est pas la marche solitaire qui peut nuire à la vision globale.
Tu as dans le buste l’âme du violon que l »archet déplace en fonction du refus.
Le tempo de ta poitrine en tapant du bout du sein, scande la promesse de ne jamais céder à la facilité. Laissant le sur-place des fuites aux images pieuses. Du calcaire la craie extraira les marelles pour apprendre aux enfants à monter au tableau. Il n’y a pas de contre-poison en dehors de la poésie.
Niala-Loisobleu – 25 Novembre 2017
Ce trait de caractère que les rues tiennent de ce qui ne se trouve pas dans les vitrines. Voilà.
Merci Gökhan Demirel.
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Je suis pour le buste des mots lierre, ils tiennent. M’aime sur le sable.
Merci ivanitch.
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Assis dans les ajoncs nous écoutons battre le coeur du monde et les nôtres en écho.
Sonate ou concerto, peu importe l’endroit, on se met à l’envers.
¸¸.•¨• ☆
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Tête bêche c’est comme ça que jardine le mieux, les ajoncs se font le gût pillons en rince-doigts, un délice automnal où fumets forestiers s’assemblent aux bases d’iode + la pincée de selle. Opinant du chef, le gâte-sauce montre son dessous de tablierr, tandis que la bouquetière fait l’étable avec du trèfle sentant la luzerne. Au premier rang, l’orchestre fait les cuivres, faut voir un peu comment ça astique ! Ouah, la belle bleue fait une connaisseuse en se mettant à l’endroit qui convient.
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Le bois du violmon pas en corps coupé, tu peux déjà tresser la ficelle, le son de conduite sans morale à la noix se montrera.
Merci Boris.
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