Osmose
En découpage la buée d’un désir passe entre deux planches
tendre mousse posée sur la barbe d’une ronce
où le passage d’un garenne a laissé de son odeur
Il n’y a rien qui se perd hormis la percée du regard que l’on ne veut plus entendre. Jeter au dépourvu arrange. Pourtant là-haut le gardien de phare converse en toute connaissance avec le bateau qui demeure fantôme pendant que les ultras-sons portent la direction des grands mammifères dans la pollution des embouteillages de paroles.
Je t’entends de la tête au pied du lit de la rivière. Clapot qui jette la fulgurance de l’écaille hors du piège de la nasse. Comme le moulin de l’enfant se prête à méconnaître la surdité des grands, le volume de tes seins, outre autrement que le putain de noir de ce peintre témoin d’un temps décadent. Il y a cet émetteur-récepteur des poils d’avant-bras qui nous mène à bons pores.
Niala-Loisobleu- 20 Novembre 2017

S’imprimant sur les dates à retenir, les pensées se retiennent.
Merci Anne.
J’aimeJ’aime
De source végétale partit un pigment que la peinture espérait, ce qui donna au tisseur un besoin de planter du lin pour que le fabricant de châssis puisse la tendre. Quel chemin le bon sens parcourt dès qu’il diffuse de la matière, c’est dire combien la transmission de pensée prend de l’importance avec l’amour !
Merci ivanitch.
J’aimeJ’aime
…une sorte d’osmose entre ces deux courants de pensée ….
Beau poème
Je Vous souhaite bon nuit..
Cordialement
J’aimeJ’aime
Courant continu Maidan, merci .
J’aimeJ’aime
La main jointe
au bras de l’étreinte
du pied haletant
qui s’accouplent
Merci tracesdusouffle.
J’aimeJ’aime